Voici ONDE DE CHOC : un portrait mondial des défis et possibilités de la transition énergétique
Le réchauffement de la planète, les tensions géopolitiques accrues et les inquiétudes concernant la sécurité énergétique à l’échelle mondiale constituent autant de menaces à la transition vers un avenir carboneutre – c’est ici qu’ONDE DE CHOC entre en scène et pose la question:
Comment pouvons-nous atténuer les risques associés à la transition énergétique?
9
sur 10
Plus de neuf dirigeants et dirigeantes du secteur de l’énergie sur dix (94 %) croient que la crise énergétique actuelle est la plus grave que leur marché ait jamais connue.
Contrairement aux crises précédentes, comme les chocs pétroliers des années 1970 et 1990, la crise actuelle est véritablement mondiale et multidimensionnelle, et touche toutes les facettes de la société. Elle est caractérisée par une volonté d’atteindre la carboneutralité, qui dépend de la capacité du secteur de l’énergie à progresser rapidement sur la voie de la décarbonisation.
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ONDE DE CHOC
le trilemme
Le secteur de l’énergie affronte présentement trois chocs distincts, mais interconnectés : la sécurité, la société et le climat.
Le choc de la sécurité
La volatilité extrême des marchés et les tensions géopolitiques ont fait de la sécurité énergétique une priorité mondiale.
3/4
dirigeants et dirigeantes du secteur de l’énergie affirment que la sécurité de l’approvisionnement en énergie est la principale préoccupation de leur organisation.
Le choc social
La pression exercée par la société sur le secteur de l’énergie pour fournir une énergie fiable, abordable et à faibles émissions de carbone n’a jamais été aussi forte.
71%
des dirigeants et dirigeantes du secteur de l’énergie affirment que la réaction négative des consommateurs à l’augmentation des factures d’énergie constitue une grave menace pour leurs activités.
Le choc climatique
La crise climatique continue à forcer l’accélération de la transition énergétique, mais les progrès vers la carboneutralité sont entravés dans les deux sens par les dynamiques complexes en jeu...
42%
affirment que la crise énergétique actuelle a accéléré les plans de carboneutralité de leur organisation de cinq ans en moyenne.
Mais près de la moitié (47 %) déclarent que la crise a ralenti leurs plans de carboneutralité, et ce, de six ans en moyenne.
Ce qui est différent avec la crise actuelle, c’est le nombre de facteurs en cause. Il n’y a pas de solution miracle. Alors que les crises énergétiques précédentes portaient principalement sur l’accès à l’énergie et la réduction des prix, celle-ci est profondément liée à la décarbonisation.
La situation actuelle peut sembler sombre. Mais il y a de l’espoir
En adoptant une approche multifacette pour bâtir des réseaux énergétiques plus résilients et un engagement partagé à créer des changements positifs, nous pourrons traverser la période actuelle de perturbations, garder le cap sur nos engagements de carboneutralité et mieux nous préparer à faire face à l’inévitable prochaine onde de choc.